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Burn out : comprendre et s'orienter
Comprendre et savoir s'orienter que l'on soit touché directement ou indirectement.
Au fur et à mesure de nos accompagnements nous nous apercevons à quel point non seulement mettre des mots sur ce qui se passe, entrevoir que le temps n'est pas figé, qu'il est un allié, qu'il y a bien des perspectives et un processus de reconstruction, est important.
Le rôle de l'entourage.
Dans les appels que nous recevons ou même lors de nos rencontres nous sommes frappés par les hommes et ces femmes de l'entourage. C'est eux qui perçoivent les premiers signes, s'inquiètent, se renseignent.
Comprendre est la première motivation de l'entourage.
Lorsqu'ils ont saisi le mécanisme du burn out et comment une personne peut se reconstruire ils osent approcher celui ou celle pour qui ils se mobilisent.
La deuxième motivation? Orienter.
Bien souvent c'est grâce à eux que la personne ira voir un thérapeute, quelle que soit sa discipline, commencera une activité pour prendre du recul.
Dans les cas graves, lorsque la chute est arrivée, ou parfois dans la période de déni, ce sont eux qui emmèneront chez le médecin, le psy.
Grâce leur soit rendue!
Mais seul ce n'est pas facile.
Alors, c'est notamment pour l'entourage que 600 phenix et le réseau RPBO informent et orientent lors de permanences téléphoniques. Et c'est gratuit!
Pour la personne en burn out.
« Qu'est-ce qui m'arrive? Que dois-je faire? Voir un psy? Faire de l'hypnose? Marcher? Voir un thérapeute psycho corporel? Prendre des massages? »
Pour une personne en burn out ce n'est pas toujours évident, c'est parfois même troublant, de rester des heures sur internet à la recherche d'informations sur le burn out.
Qui répond?
Psychologues ou coachs volontaires informent sur le burn out, les intervenants et les types d'accompagnement en fonction de votre demande et ce, dans un esprit d'interdisciplinarité. En effet, ces « consultants-accompagnants » sont là pour tenir le fil de la reconstruction et ne se substituent pas au médecin, au psychiatre, au psychologue, au thérapeute…